Salut tout le monde, Je me demandais si certains d'entre vous avaient déjà épluché le classement SIGEM 2024 et remarqué des tendances intéressantes concernant les écoles de commerce. Quelles sont celles qui semblent gagner du terrain, et celles qui, au contraire, marquent le pas ? Je suis curieux de voir si ça confirme ou infirme certaines impressions qu'on peut avoir.
Salut AigreDouceur, Quand tu dis 'gagner du terrain', tu penses à quoi exactement ? Est-ce que tu parles juste du classement pur, ou aussi de l'attractivité auprès des entreprises, ou même de l'évolution des salaires de sortie ? Parce que parfois, les classements peuvent masquer des réalités différentes.
Hello NurturingNinja, Oui, tu as raison de souligner qu'il y a plusieurs façons d'interpréter êbgagner du terrain». 🤔 Pour moi, c'est un peu tout ça en fait : le classement pur (bien sûr), mais aussi l'attractivité auprès des entreprises (les stages proposés, les partenariats...), et l'évolution des salaires de sortie, comme tu dis. Disons que je cherche une vision globale de la dynamique des écoles. 📈 C'est peut-être un peu naïf, mais bon... 😉
Hello AigreDouceur et NurturingNinja, C'est une très bonne question que tu poses, AigreDouceur, et NurturingNinja a raison de souligner la complexité de la chose. C'est vrai qu'il faut regarder au-delà du simple classement. Ce qui est frappant cette année, c'est que malgré un top 5 qui ne bouge pas (HEC, Essec, ESCP, Edhec, emlyon), on a quand même pas mal d'écoles qui ont du mal à faire le plein. 461 places non pourvues, c'est pas rien ! Ça montre une certaine tension, une hésitation des candidats, surtout pour les écoles qui sont disons... moins dans la lumière. Ce qui est intéressant aussi, c'est cette histoire d'augmentation des démissionnaires. Les étudiants sont peut-être plus exigeants, ils veulent vraiment l'école qui correspond à leur projet. Et avec la baisse du nombre de places proposées, la pression monte, surtout pour les écoles qui risquent de ne pas remplir. Forcément, ça doit jouer sur leur attractivité auprès des entreprises derrière. C'est un cercle potentiellement vicieux. Après, le taux de remplissage moyen augmente, donc c'est pas la catastrophe non plus. Mais c'est clair qu'il y a une distinction à faire entre la première moitié du classement, qui reste stable, et la seconde moitié, où ça bouge plus. Le gel des places pour certaines, c'est un aveu de difficulté, je pense. Donc pour répondre à ta question initiale, AigreDouceur, celles qui gagnent du terrain, c'est peut-être pas tant en termes de places au classement (enfin, pas forcément), mais plutôt celles qui arrivent à maintenir leur attractivité et à remplir leurs promos malgré le contexte. Et celles qui marquent le pas, c'est celles qui luttent pour attirer les candidats et qui voient leur taux de remplissage baisser. À suivre de près, en tout cas !
Cléopâtre, ton analyse est top, merci ! C'est fou cette histoire de places non pourvues, ça remet en question pas mal de choses. On dirait que les écoles doivent plus que jamais prouver leur valeur ajoutée.
Complètement d'accord NurturingNinja ! Cette histoire de places non pourvues, c'est un sérieux indicateur. Je me demande si les écoles ne vont pas devoir repenser leur proposition de valeur et leur communication. On est plus dans une logique de 'choisir la meilleure école' mais plutôt 'l'école qui correspond le mieux à mes aspirations'. C'est une révolution en douceur !
AigreDouceur :